Lorsque nous partons en week-end ou en vacances, nous essayons toujours de privilégier les adresses fréquentées par les locaux et d'éviter les pièges à touristes.
Le soir de notre arrivée à Rome, sur les conseils (!) de l'hôtel, nous nous sommes retrouvés piégés dans un restaurant uniquement fréquenté par des ecclésiastiques... à première vue cela aurait dû être de bon augure sauf qu'ils étaient tous américains et qu'on se croyait plus dans un resto à Philadelphie qu'à Rome.
Le deuxième soir, pour éviter toute déconvenue, en nous baladant dans les ruelles autour du Panthéon, nous avons décidé de choisir le resto sur un critère unique qui s'est révélé extrêmement judicieux : que le resto n'ait pas un rabatteur devant la porte ! C'est comme ça que nous avons poussé la porte du Barroccio. Il faut dire que le pizzaïolo en plein travail derrière la vitrine laissait déjà présager le meilleur !
Le cadre est rustique, la cuisine aussi, comme celle qu'on mangerait chez une grand-mère.
Il y a deux salles : une au rez-de-chaussée et une à l'étage.
Emiliano est un serveur attentionné qui vous explique la carte dans les moindres détails... Et en plus il parle français !
Le vin de la maison "Notre Dame du Panthéon" en français dans le texte est ainsi nommé en hommage à la mère du propriétaire, d'origine corse. Pace & Salute !
La Focaccia bianca en guise de pain : un régal sans nom.
La galette de châtaignes aux pignons.
La torta di ricotta al cioccolato.
Point de photos au début du repas >> Nous avions trop faim et c'était tellement bon que j'en ai oublié le blog ;-)
Clientèle romaine garantie.
Point de photos au début du repas >> Nous avions trop faim et c'était tellement bon que j'en ai oublié le blog ;-)
Clientèle romaine garantie.
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